Anubis Labo
Information générale sur nos loofahs (loufa)
Producteur et Grossiste de loofah (luffa) egyptien
Qui sommes-nous :
Nous avons créé ANUBIS LABO en 1990, une entreprise spécialisée dans la commercialisation du loofah brut ou confectionné en relation directe avec nos ateliers en Egypte.
L’appréciation du loofah égyptien par notre entourage proche nous a donné l’idée de tester la commercialisation de ce produit en France, même si à l’époque le loofah était un produit quasiment inconnu des français.
Des études s’imposent :
Nous avons donc décidé de faire deux études : l’une pour évaluer la connaissance de la population bordelaise de ce produit, et l’autre pour tester la commercialisation des gants de loofah pendant 6 mois en sélectionnant 50 points de vente (instituts de beauté, salons de coiffure pour dames, pharmacies, magasins bio) pour déposer nos produits accompagnés de quelques outils publicitaires.
Nos clients fidèles
Nous avons commencé à les commercialiser avec succès dans les centres de beauté, chez les esthéticiennes de renom, dans les centres de thalassothérapies, les ateliers de savonnerie, chez les grossistes de produits bios et dans les laboratoires des produits de beautés qui eux utilisent nos loofah broyés.
Nos plantations
ANUBIS Labo, grossiste et producteur de loofah, existe en France depuis 1990, son objectif est la commercialisation des loofahs cultivés en Egypte.
Le loofah a besoin de beaucoup de soleil et de soins pour croître dans de bonnes conditions. L’’Egypte est un pays qui a une expertise et une tradition de longue date du loofah.
La plantation de nos loofahs (loufa) en Egypte commence la première quinzaine de février de chaque année. Elle fait l’objet d’un soin permanent. Il faut constamment nettoyer autour des pieds en arrachant les mauvaises herbes, respecter la période d’irrigation, surveiller les installations des poteaux et les fils de grimpement afin que les fruits ne se déforment pas et donnent leur belle forme oblongue. ANUBIS Labo, producteur spécialisé en loofah, attache une grande importance à la sélection de ses luffas.
La terre est labourée deux fois avant la plantation, puis des poteaux de 10 cm de diamètre et 60 cm de hauteur sont installés à intervalles de 30 cm, pour tendre les fils qui aideront la plante à grimper et supporteront les courges (les fruits) des loofahs.
Nous sélectionnons les graines de loofah et nous les préparons pendant 24 heures. Elles sont tassées avant la plantation en pépinière pour faire germer les pousses.
Les plantes cultivées dans les terres jaunes et lourdes sont irriguées tous les 3 jours, et lorsqu’elles atteignent une longueur de 80 cm, l’irrigation se fait tous les 8 jours jusqu’à que la récolte mûrisse.
La plante de loofah commence à fleurir dès juin et jusqu’en septembre. Elle atteint son sommet en août, moment où commence la récolte qui se fait jusqu’en janvier par lots lorsque les signes suivants apparaissent sur les épis : le jaunissement de la courge et l’émission d’un son résonnant lorsque le fruit est à point. Il est important de récolter les fruits du loofah au bon moment, lorsque les fibres sont bien développées et avant que les courges ne soient déformées ou moisies, ou qu’elles sèchent prématurément.
La récolte se fait en coupant la courge à partir du cou. Les fruits sont ensuite transférés dans des scieries où ils sont mis à sécher au soleil.
Ils sont martelés avec du bois pour séparer la coque extérieure et les fibres, puis les épis sont fendus dans le sens de la longueur et laissés dans des bassins pleins d’eau pour les débarrasser du mucus qu’ils contiennent.
Une fois séchées au soleil, les courges sont à nouveau martelées doucement à la main une par une sur le bord d’une grande caisse en bois pour faire sortir les graines.
On extrait de celles-ci de l’huile qui est utilisée dans la fabrication de nombreux produits ou crèmes de beauté et les déchets sont utilisés comme semences naturelles pour fertiliser la terre. Le métier de producteur de loofah demande patience et minutie.









Création de la société Anubis Labo, producteur de loofah :
Nous avons entrepris les démarches pour créer la société en juin 1990, et nous avons contacté les spécialistes avec notre cahier des charges pour mettre au point un dépliant, un présentoir et un poster.
Outils publicitaires : dépliants avec coupons réponses, présentoir et poster.
Les études réalisées auprès de la population bordelaise et des esthéticiennes ont permis de mettre en évidence les points suivants :
- Pour la population bordelaise : produit quasiment inconnu, confusion entre le gant de crin et le gant en loofah, croyance que le produit est réservé aux femmes (n’oubliez pas que nous étions en 1990),
- Pour les esthéticiennes : produit quasiment inconnu, confusion aussi avec le gant en crin ou sisal, croyance qu’il s’agit d’un gant de toilette ou de massage, ou encore de friction, crainte que le gant fasse mal ou soit agressif pour la peau.
Nous avons dû prendre en compte les craintes des professionnelles de l’esthétique.
Dans quel secteur d’activités allions-nous développer nos produits ? Allions-nous nous orienter vers la santé (pharmacies et parapharmacies), la beauté (esthéticiennes et instituts de beauté), ou nous contenter de considérer le gant en loofah, comme au Suède ou en Angleterre, comme un gant de toilette remplaçant efficacement le gant traditionnel en éponge ?
Nous avons longuement hésité, conscients que notre décision allait être déterminante pour la conception de nos supports de communication.
Au vu des résultats des études, nous avons défini que notre clientèle serait plutôt féminine.
Nous avons opté pour des établissements ou commerces fréquentés par les femmes et ayant un lien avec l’esthétique, principalement les instituts de beauté et les salons de coiffure pour dames. Les esthéticiennes étant des spécialistes de soins du corps, elles devraient nous apporter un soutien efficace pour la vente. En revanche, les salons de coiffure pour dames nous demanderaient un peu plus d’efforts, surtout pour les supports visuels de communication.
Nous avons mené une étude pour mesurer l’impact de ce nouveau produit à Bordeaux. Le succès immédiat auprès des esthéticiennes, pharmacies, coiffeurs et magasins Bio nous a incités à mettre en place une stratégie de communication orientée vers les acheteurs. Nous avons investi dans la création d’un dépliant informatif, un poster et un présentoir en bois suédois.
L’appréciation de nos gants en loofah par les consommateurs, en particulier les clientes des esthéticiennes et des magasins Bio, nous a amenés à élargir notre gamme de produits.
D’autres clients nous ont contactés : des centres de thalassothérapie, des hôtels, puis des savonneries ont réclamé nos loofahs égyptiens appréciés pour leur souplesse.
De grandes marques nous ont confié la confection d’articles en loofah avec leur nom et parfois avec des formes spécifiques.
Des laboratoires spécialisés dans le façonnage des produits cosmétiques nous demandent aujourd’hui de les approvisionner en chutes de loofah, ou en loofah broyé.
Le loofah broyé intéresse tout particulièrement les savonneries qui font appel à nous pour la confection de porte-savons en loofah, un produit qui a beaucoup de succès.
Comment reconnaître le loofah Anubis ?
Un produit naturel
Vous pouvez aisément reconnaître le loofah ANUBIS à sa fibre abondante et épaisse, de couleur claire, écrue. Il s’imprègne d’eau et gonfle facilement pour atteindre 4 fois son volume de départ. C’est un produit naturel, bénéfique pour l’utilisateur et qui préserve son environnement.

Une qualité exceptionnelle
Ce qui distingue le loofah d’ANUBIS des autres catégories de loofah, c’est sa qualité exceptionnelle reconnaissable à l’œil nu. Il présente des fibres aérées contrairement aux fibres des loofahs asiatiques qui sont serrées et ne réagissent pas dans l’eau. Les loofahs asiatiques restent rêches et durs alors que les loofahs ANUBIS sont souples et abondants.
